Arnaud Gallais

28/02/2023

Les interviews - Arnaud Gallais

Co-fondateur du collectif « Prévenir et protéger », Be Brave France, membre de la ciivise


Pour celles et ceux qui vous découvrent, pouvez-vous vous présenter ?


Je m'appelle Arnaud Gallais. Je suis un acteur associatif depuis plus de quinze ans, notamment de la protection de l'enfance. J'exerce actuellement des fonctions de Directeur Général d'une fondation. Je suis par ailleurs cofondateur avec Ghada Hatem du collectif Prévenir et Protéger. Ghada Hatem est médecin gynécologue, fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis. L'idée de ce collectif est de mettre en commun nos expertises en matière de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants. Nous sommes partis du constat que les mécanismes des violences sont les mêmes, les chiffres sont quasi identiques. En 2019, Edouard Philippe, alors Premier Ministre, nous a décerné le titre de Grande Cause Nationale sur le thème de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles faite aux femmes et aux enfants.

Ce sujet me tient particulièrement à cœur. En effet à titre personnel j'ai été victime d'un double inceste. J'ai été violé par un grand oncle, qui était également prêtre missionnaire, entre l'âge de 8 et 11 ans, puis à l'âge de 12 ans par deux cousins.

J'ai participé activement en 2021 au #metooinceste. La même année, j'ai été nommé membre de la Commission Indépendante sur l'Inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) coprésidée par Nathalie Matthieu et le Juge Edouard Durand.

En 2022, avec Mie Kohiyama, présidente de MoiAussiAmnésie, j'ai cofonfondé le BeBraveFrance, la déclinaison française d'un mouvement international de survivantes et de survivants de violences sexuelles dans leur enfance. Notre objectif est de faire du lobbying autour de trois axes pour lutter contre la pédocriminalité : prévention, justice et santé. Nous avons obtenu du dernier G7 que la lutte contre les violences sexuelles faites aux enfants figure parmi les priorités.

J'ai par ailleurs également été victime de violences conjugales, de violences physiques et psychologiques, humiliations d'un père qui était tyrannique.

Ce contexte a été le terreau propice aux violences sexuelles subies puisque ces violences m'ont désigné comme une proie idéale pour mes agresseurs.

C'est pourquoi je milite aujourd'hui contre les violences éducatives ordinaires et pour une éducation positive, convaincu qu'il existe un continuum des violences faites aux enfants, dont la base se situe dans l'éducation reçue dès notre plus jeune âge.

Père de d'un enfant de 7 ans et demie, et d'une belle fille de 13 ans, les questions autour de l'éducation, la parentalité sont aussi mon quotidien de père, de parents qui souhaitent le meilleur développement pour nos enfants.

C'est donc avec grand plaisir que je réponds à cette interview pour Parentalité Sans Tabou.


Vous avez connu la violence dans votre enfance, à quel moment avez-vous décidé de libérer la parole sur le sujet ?

J'ai connu différentes situations de violences quand j'étais enfant.

Des violences éducatives ordinaires, des violences physiques, verbales, psychologiques, les violences conjugales qui étaient connues de mon environnement familial et scolaire, du voisinage, des ami.e.s de mes parents, sans que personne ne les signalent pour qu'elles cessent. Elles étaient en somme comme une forme de normalité. Au regard des chiffres des violences faites aux femmes et aux enfants, j'ai aujourd'hui mieux compris qu'elles étaient comme une composante culturelle acceptée, malgré les discours qui visent à les dénoncer.

Concernant les violences sexuelles dont j'ai été victime, j'ai dénoncé les faits à l'âge de 19 ans à mes parents. A ce moment-là je n'avais conscience que des viols commis par un grand oncle entre l'âge de 8 et 11 ans. J'étais dans une phase d'amnésie traumatique concernant le viol commis par mes cousins.

C'est à l'âge de 25 ans, en thérapie, soit 14 ans après, que les faits sont revenus à ma mémoire. Ma mère que j'ai informé en premier lieu, car il s'agissait des enfants de son frère, a mis un an quasiment à en parler à mon père, sous prétexte qu'elle craignait sa violence. Or mon père, qui n'a jamais su me protéger n'a rien fait dans un premier temps. C'est sous pression de ma compagne de l'époque qui me voyait extrêmement mal qu'il a convoqué une réunion de famille avec la mère de mes cousins. Si mes cousins ont reconnu les faits, ma famille a souhaité privilégier leur version des agresseurs, qui consistaient à banaliser le viol en le présentant comme un jeu d'enfant.

Maintenant la gravité des faits, j'ai été exclu pendant deux ans de ma famille, comme de nombreuses victimes peuvent l'être quand elles dénoncent.

Là encore si l'impact personnel est immense, la dimension culturelle des réactions de mon entourage, de cette capacité de l'environnement de l'enfant agressé, à minimiser en acceptant la version de l'agresseur ou des agresseurs plus que celle de la victime comme s'il fallait donner une cause rationnelle à un crime qui ne l'est pas, est quelque chose qui m'anime et qui a forgé mon engagement.

Qu'est-ce qui a déclenché votre investissement dans toutes les actions que vous menez ?

Anthropologue de formation, diplômé de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, j'ai fait le choix de m'engager dans le secteur associatif. J'ai fait mes premières armes dans le secteur de l'hébergement social, un secteur qui m'intéresse encore beaucoup puisque je suis le Président du Groupe Appui National Enfance à la Fédération des Acteurs de la Solidarité. Soucieux des enfants, des parents et des familles vivant au sein de centres d'hébergement, je me suis assez rapidement et naturellement tourné vers le secteur de la protection de l'enfance.

Des années de thérapies m'ont permis de comprendre que mon engagement sur le terrain n'était pas un hasard au regard de mon histoire.

La naissance de mon fils a été un élément déclencheur dans l'investissement militant. Comme si sa naissance rimait avec « plus jamais ça » : une forme de souhait de transmission de mon histoire familiale couplé d'un souhait de rupture de la chaine des violences.


Quels sont vos objectifs à l'heure actuelle ?

A l'heure actuelle mes objectifs sont de participer activement à un mouvement qui vise à regrouper les actrices et acteurs de la protection des enfants, de défense des droits des enfants et de leur application, de soutien aux parents pour que ces enjeux figurent parmi les priorités. Par collectivement j'entends la nécessité de faire de l'ensemble de ces sujets une convergence des luttes contre les violences faites aux enfants. C'est ensemble que nous parviendrons à changer la société avec la société.

En France nous avons tendance à cliver, diviser les champs d'intervention en fonction des expertises. Je pense que nous devons aujourd'hui fédérer les actrices et les acteurs des différents champs d'intervention car tout est imbriqué. Il n'y a pas de graduation parmi les violences faites aux enfants, mais une volonté politique commune à avoir : respecter chaque enfant en sa qualité de sujet de droits.

Avez-vous des conseils à fournir aux victimes et à leur entourage ?

Le premier conseil que je donnerai aux victimes c'est de leur dire qu'elles ne sont plus seules.

Certes, elles devront sûrement lutter contre le syndrome d'inversion auquel sont confrontées de nombreuses victimes, une inversion qui fait que la société peut leur renvoyer une forme de responsabilité par rapport aux violences qu'elles ont subi. En gros, en France, tu dis que tu t'es fait voler ton téléphone, on te croit ; par contre tu dis « je me suis fait.e violé.e », dans de nombreuses situations les personnes qui reçoivent cette parole vont soit minimiser cette parole, soit chercher à la remettre en question en demandant s'il ne s'agissait pas d'un rapport consenti. C'est très violent pour les victimes mais ce qui a changé c'est que cette situation est publiquement dénoncée et donne donc lieu à une réelle évolution des mentalités.

Appuyez-vous sur des personnes de confiance à qui vous pouvez parler : un proche de la famille, un.e ami.e, un.e voisin.e,... Soyer conscient.e qu'il y a, malgré le chemin considérable qui reste à faire, un avant et un après #metoo. Certes il peut y avoir encore des résistances, mais aujourd'hui il existe une réelle solidarité entre les victimes et pour les victimes. Prendre la parole, dénoncer des violences vécues c'est penser à une réparation possible, c'est aussi prévenir et protéger d'éventuelles victimes.

A titre personnel, je vous conseille aussi de prendre contact avec un.e psychologue, psychiatre. Cet espace me paraît essentiel. Il l'a été pour moi. En effet quand on prend la parole, c'est comme si on redistribuait des cartes, les mêmes cartes qui permettent à l'omerta d'exister.

Au-delà de la charge émotionnelle, il y a une nécessité de comprendre, de déconstruire à mon sens les relations, les places de chacun.e, notre place.

La mémoire traumatique peut aussi resurgir de différentes manières et cela nécessite aussi un accompagnement spécifique dans un lieu neutre, votre lieu, votre espace, un espace sans enjeu. Cette question de la mémoire traumatique est fondamentale et peut là aussi être remise en question tant la théorie des faux souvenirs qui est dénoncée scientifiquement fait encore des ravages. Les personnes bien souvent ne comprennent pas quand on dit qu'on a occulté soit certaines choses, soit la totalité des évènements. A titre personnel, le viol commis par mes cousins, comme je vous l'ai dit avant est revenu 14 ans après les faits. Ma « chance » a été que les agresseurs ont reconnu les faits tout en les minimisant, prétextant qu'il s'agissait d'un jeu. Comme s'il existait un jeu qui consistait à violer un enfant. Concernant les viols répétés dont j'ai été victimes entre l'âge de 8 et 11 ans, j'ai fait une amnésie traumatique partielle. En gros je me rappelais uniquement de certains moment qui me faisait penser que j'avais été consentant. Tout ce que l'agresseur voulait que je comprenne. J'avais donc occulté sa stratégie. Il m'a fallu près de dix années pour que la quasi intégralité du moment vécu revienne et me permette de comprendre que j'avais été victime de viol, que j'avais fait un épisode de dissociation traumatique pour supporter l'insupportable, comme si j'étais sorti de mon corps.

Le conseil que je donnerai à l'entourage c'est de croire la victime sans douter ou sans interroger le pourquoi d'une situation de violence vécue. Le ou la seul.e responsable est l'agresseur. Pour se faire il faut que l'entourage prenne conscience qu'il est aussi victime de ces violences. Une prise en compte systémique des conséquences psycho traumatiques est une des clefs qui nous permettront d'isoler l'agresseur, là où jusqu'à présent les victimes étaient seules. Elargir le spectre des victimes permet de mieux comprendre ses propres mécanismes de sidération face à la violence et donc de revenir dessus si nécessaire avec la victime.

N'hésitez pas à dire si nécessaire « quand tu m'as dit les violences que tu avais subies, je n'ai pas réalisé… » Cette ère des co-victimes a notamment été introduite par la prise de parole courageuse de Camille Kouchner.

Je conseille aussi à l'entourage d'être accompagné par un.e psychologue, psychiatre. Le traumatisme pour l'entourage est bien souvent complètement mis de côté tant la priorité légitime est accordée à la victime. Je milite pour une conception systémique des victimes de viols. Ne soyez pas seul.e.s, ne pensez pas être assez fort.e. Comme je le disais préalablement, une parole qui se libère pour dénoncer des violences sexuelles vient bousculer les places que chacun.e.s a occupé.e.s.


Quels sont les moyens de prévention possible ?

Les moyens de prévention sont multiples. Bien entendu on pense aux sensibilisations qui existent mais qui devraient être obligatoires dans tous les établissements scolaires, et ce dès la maternelle, voire la crèche.

Des informations aux parents sont également essentielles. Elles ne sont aujourd'hui pas suffisantes. Certes le vocable de « soutien aux parents » « soutien à la parentalité » apparaît de plus en plus, permettant de déconstruire une parentalité qui jusqu'alors pouvait apparaître comme innée, mais les parents, les proches sont bien souvent démunis lorsqu'ils se retrouvent confrontés à une situation de violences alors que paradoxalement les chiffres nous montrent que les violences contre les enfants sont très présentes dans notre société.

En France chaque année 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles. On parle de 6,7 millions de Français.e.s victimes d'inceste. Entre 7 000 et 10 000 enfants seraient victimes de prostitution. 60 000 femmes sont excisées en France – une excision dans le monde toutes les 4 minutes. 200 000 femmes en risque de mariage forcé. 1 enfant meurt tous les 4 jours sous les coups de ses parents. Une sur-représentation de ces violences concerne les enfants en situation de handicap.

Et pourtant quels moyens sont actuellement déployés pour lutter contre toutes ces violences qui nous dénonçons pourtant toutes et tous ? Dénoncer ne suffit pas il faut agir.

Qu'est-ce que vous aimeriez que le gouvernement mette en place pour favoriser la prévention contre les violences ?

Difficile de répondre à cette question de manière exhaustive tant il y a beaucoup à faire. La première priorité qui me vient à l'esprit c'est un investissement nécessaire et obligatoire dans la prévention pour tous les lieux qui accueillent des parents et des enfants. Je pense bien évidemment aux écoles, centres de loisirs, associations sportives…

Prévenir c'est connaître ses droits. Je pense que les droits des enfants sont trop souvent méconnus. Cette méconnaissance expose les enfants comme sujet de droit à une vision caricaturale ; le fameux : « on ne peut plus rien dire aux enfants » ou encore le très entendu « aujourd'hui les enfants sont rois ». Il doit donc y avoir une volonté politique qui vise à faire connaître les droits des enfants.

Je pense également que cette volonté politique doit s'accompagner d'un vaste plan de prévention en matière de lutte contre les violences éducatives ordinaires et pour la promotion d'une éducation positive. Le soutien aux parents qui passe aussi par des explications du développement des enfants est essentiel. Cette méconnaissance aujourd'hui est le terreau qui expose les enfants à des violences.

Dans la continuité de ce vœu, je souhaiterai que tous les lieux qui accueillent des parents et des enfants aient une obligation de faire de la prévention en matière de lutte contre toutes les violences faites aux enfants.


Enfin, et en lien avec l'actualité européenne, je souhaiterai que le gouvernement français prenne le lead afin que l'Union Européenne adopte une législation permettant un internet plus safe. La France est aujourd'hui le 2ème pays hébergeur de contenus cyber pédocriminels, le 4ème dans le monde. Au-delà des actions de prévention, il faut contraindre les opérateurs internet à signer les contenus afin que la police agisse. Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Ces contenus doivent également être retirés. Comment expliquer qu'un pédocriminel condamné peut demander et obtenir le retrait des contenus web concernant les crimes qu'il a commis, alors qu'on laisse en circulation continue des vidéos d'enfants sur internet ? Interpol a présenté une technologie qui permettrait aux états du monde d'agir : l'ADN Picture. Il nous manque donc une volonté politique nous permettant de passer de la parole aux actes.

Quels sont vos projets, vos espoirs pour la suite ?

Ayons conscience de trois phases historiques pour comprendre là où on en est aujourd'hui, et espérer que la société change pour lutter contre les violences faites aux enfants.

En 1986, par la voix d'Eva Thomas s'ouvrait un temps essentiel : celui de la parole libérée. Ceci ne signifie pas pour autant qu'avant Eva Thomas personne n'avait pris la parole. La spécificité de cette prise de parole est sa dimension médiatique. A travers les médias, on pouvait voir apparaître le traumatisme collectif vécu.

En 2015, l'association La Parole Libérée, collectif de victimes du Père Preynat, venait aborder un sujet fondamental qui est bien souvent encore tabou et évacué dans de nombreuses situations : la non-dénonciation.

Enfin en 2021, Camille Kouchner suivi du mouvement historique #metooinceste ouvrait l'ère des co victimes, un moment essentiel qui consiste à prendre conscience collectivement qu'un agresseur agit sur tout un système pour parvenir à ses fins.

Cette prise de conscience systémique doit permettre à la société de se réparer car le préjudice n'est pas exclusivement individuel. Soyons toutes et tous concerné.e.s pour les enfants.

Que seriez-vous si vous étiez :

une fleur ? un coquelicot

un menu pour enfant ? carottes râpées, jambon coquillettes, fruit 😊

un animal ? un chat

un jouet ? une balle

un dessin animé/film/série pour enfant ? Le livre de la jungle

un jeu de cour de récréation ? la balle aux prisonniers 😊

une matière scolaire ? les mathématiques

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